Pas moins de 5 planètes dans le signe futuriste, avant gardiste, innovant, humaniste du Verseau.
Le Soleil : la conscience du Soi, Jupiter: notre énergie d’expansion dans le collectif, Saturne: notre maitre intérieur, notre structure solide et intègre, fruit d’un long travail d’engagement avec soi ,de lâcher prise sur nos rigidités et limitations, Venus: notre désir, nos valeurs, ce à quoi on donne de la valeur, le sens de notre valeur, et Mercure: notre dimension mentale, notre manière d’apprendre, de communiquer, de comprendre, notre discours intérieur.

Mercure est actuellement rétrograde dans ce signe du Verseau. Quand une planète est rétrograde, nous sommes amenés à re(voir), re(visiter) notre dimension mentale. Bien souvent c’est à travers la répétition d’expériences passées que nous avons la possibilité d’y apporter une autre réponse, plus mature, plus responsable, plus consciente.

Mercure, le « messager des dieux » voyage entre les mondes, dans les profondeurs de notre inconscient, et nous permet à chaque rétrogradation de nous libérer de schémas qui bloquent notre évolution.

La phase qui précède la conjonction inférieure au Soleil, phase que nous traversons actuellement est la plus inconfortable. Nous sommes en mode intériorisé, les mots de viennent pas, nous naviguons dans une brume opaque.

Ne résistez pas, donnez vous douceur et bienveillance, prenez du temps pour accueillir ce qui peut remonter, et dès le 8 Février laissez venir le « reset » mental qui vous ouvrira à une pensée plus libre, plus innovante, plus creative.

La qualité de notre discours intérieur peut nous limiter, comme nous expanser!

Uranus, énergie d’individuation, d’éveil, de libération des « murs saturniens » sera très active en 2021. Une énergie « électrique » de « Divin mécontentement » qui nous poussera vers un renouveau dans nos vies.

Comment pourrions nous l’accueillir si nous restons accrochés à nos vieilles manières de fonctionner, celles qui justement nous font dire aujourd’hui: ça ce n’est plus possible!

« Tout est changement, non pour ne plus être, mais pour devenir ce qui n’est pas encore »

Epictète